• En grimpant au Poupet


    L'ascension du Mont Poupet, relief isolé au bord du premier plateau du Jura, est un incontournable. Elle se double ici d'un passage par le Fort Belin, site classé.


    Salins-les-Bains, ville thermale et touristique, s'étire au fond d'une vallée naturelle, creusée par une belle rivière de montagne poissonneuse en truites : «La Furieuse». La ville semble sous la protection de deux sentinelles que sont les Forts Saint André (604 m) et Belin (584 m). 

     

    Premier objectif de cette randonnée, la montée vers le Fort Belin.

     

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    Le vigneron: une jolie fontaine au centre d'une place qui porte le même nom. 

     

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    On entamera ensuite l'ascension vers le fort.....

     

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    La Collégiale Saint-Anatole.

     

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    Eglise du 13ème siècle de style gothique-bourguignon. Le clocher, carré et massif, est une ancienne tour de défense de la ville et fut rattaché tardivement à l'église.

     

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    A la sortie de la ville, c'est un petit sentier qui va, après une rude montée, nous permettre d'atteindre le Fort Saint-André.

     

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    Au pied du fort, une première vue sur la vallée.

     

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    De jolis points de vue sur Salins-les-Bains et la vallée de la Furieuse nous sont offerts.

     

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    En arrière-plan le Mont Poupet.

     

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    La chapelle Notre Dame Libératrice, construite en 1649, elle est surmontée d'un dôme et dotée d'une tour lanterne.

     

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    On va ensuite remonter le chemin qui longe un éperon rocheux pour traverser la redoute de Grélimbach.

     

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    Un dernier regard sur le Fort Belin.

     

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    A suivre...


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    L'esplanade des Droits de l'Homme a depuis peu un nouveau "locataire": une horloge dite "de place", plantée sur un mât de 3 mètres de haut, dotée d'un cadran double face de 1.30 mètre de circonférence et surmontée d'une cloche en fonte qui sonne en journée - une seule fois - le passage des heures.

     

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    Elle a été réalisée par une horlogerie franc-comtoise pour saluer l'histoire de Besançon et son patrimoine horloger.

     

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    Baptisée "Les heures bleues" en hommage au poème de Rimbaud, l'horloge blanche vire au bleu le matin et le soir, au moment où le temps semble se suspendre entre la nuit et le jour.


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  • Leur nom vient de l’arabe al zuleique qui veut dire "petite pierre polie". Les azulejos ornent les murs des villes, des églises, des fontaines et des maisons portugaises. Sans doute introduits au Portugal au XVe siècle par les portugais après la bataille de Ceuta au Maroc, leur couleur originellement bleu s’enrichit au fil des siècles de couleurs telles que le vert, jaune, sépia. Les motifs représentés vont des simples frises à de véritables scènes mythologiques ou religieuses, des paysages champêtres, des animaux, coquillages, personnages etc.....

     

    L'église de Castelejo, petit village à côté de Fundao.

     

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    Des façades de maisons, à Belmonte, à Lisbonne....

     

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    Les plaques de rue.

     

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    Beaucoup de maisons portugaises sont parées d'azulejos.

     

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    Les azuléros font entièrement partie du patrimoine culturel du Portugal.




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  • Le Rossio est le nom historique de la place Don Pedro IV, en portugais Praça de D. Pedro IV, située dans la partie basse (Baixa) de la vieille ville de Lisbonne.

     

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    C'est le véritable coeur animé de Lisbonne, le point de convergence où se mêlent touristes, foules pressées et petits trafics. Au centre se dresse la statue de Pédro IV, premier souverain du Brésil. Au nord de la place se situe le Téatro Nacional Dona Maria II, orné au fronton d'une statue de Gil Vincente, le père du théatre portugais.

     

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    Derrière le Téatro Nacional, on emprunte la Rua das Portas de Santo Antão. Cette rue piétonne est toujours très animée à la belle saison par les nombreuses terrasses de restaurants.

     

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    Chaque restaurant a ses serveurs qui essaient d'attirer le client de midi à minuit.

     

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    Plus loin dans la rue, on trouve le plus vieux funiculaire de la ville, l'élévador do Lavra, construit en 1884.

     

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    Les plus courageux emprunteront les nombreux escaliers....

     

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    De retour au Rossio, sur le côté du Téatro Nacional, la Largo de São Domingos. Cette place est le rendez-vous des taxis. On remarque tout de suite la façade baroque de l'église São Domingos.

     

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    Edifiée au XVIIIème siècle, elle cache un intérieur d'aspect fantasmagorique lié à un incendie survenu en 1959.

     

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    On terminera notre balade dans la rue São Domingos, bien moins touristique que certaines autres rues, elle est animée par de nombreuses petites échoppes.

     

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    Vous aimez lire.....? Bon courage!!!!


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    Et pour finir la petite épicerie où on trouvera le bacalhau, la morue salée, la fameuse spécialité culinaire du Portugal.

     

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  • Située aux portes de l'Atlantique, bâtie sur sept collines qui dominent l'estuaire du Tage (Tejo), la ville jouit d'une situation idéale à laquelle elle doit une bonne partie de son charme. Ville mosaïque, Lisbonne est formée de quartiers très contrastés: l'Alfama, pittoresque et populaire, la Baxia, avec ses rues animées, ou le Bairro Alto, domaine des boites à fado et des petites gargotes.

     

    Trois jours pour une première découverte de Lisbonne. C'est à la Baxia - la ville basse - sur la Praçà do Comercio que débute notre visite.

     

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    Dédiée au commerce, la place est plus volontiers appelée terreirio do Paço - terrasse du Palais - en souvenir du palais du roi Manuel 1er détruit par le séisme de 1755. Année durant laquelle fut érigée la statue équestre du roi Joseph 1er, qui trône au centre de la place. L'esplanade s'ouvre sur le Tage.

     

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    Une fois passés sous l'arc de triomphe baroque achevé en 1876, nous sommes dans la rue Augusta, la plus large des artères de la Baxia.

     

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    L'élevador de Santa Justa. Difficile de ne pas remarquer ce drôle d'ascenseur, chef d'oeuvre réalisé en 1902 par Raoul Mesnier du Ponsard, élève de Gustave Eiffel.

     

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    D’une hauteur de cinquante mètres mètres, le bel ascenseur est construit en fer forgé et possède deux cabines pouvant contenir chacune une vingtaine de personnes. Il fait office de moyen de communication entre le quartier de Baxia et les quartiers du Chiado et du Bairro Alto.

     

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    Du haut de cette tour, on peut admirer la Lisbonne dans toute sa splendeur : la ville entière et ses monuments historiques s’offrent au regard.

     

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    La terrasse fait face au Castelo de São Jorge, construit sur la plus haute colline de Lisbonne.


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    Jolie vue sur la Sé - la cathédrale - construite en 1147, le plus ancien édifice religieux de Lisbonne.


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    A gauche la Praça Dom Pédro, appelée plus fréquemment Rossio, à droite, la Praça da Figueira.


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    A plus tard au Rossio......



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