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A la sortie de la forêt, on est juste au pied du puy de Pertuyzat.
Besse-en-Chandesse est en vue.....
On pénètre dans l'ancien bourg médiéval par un porche.....
.....qui nous permet de passer sous la tour du beffroi.
Le centre du bourg est un dédale de ruelles.
L'église Saint-André de style roman, construite au XIIème siècle.
C'est la fin d'une superbe randonnée.
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Le sentier monte sur le flanc du puy de Montchal autour
du lac Pavin.....
..... pour enfin arriver au "point sublime".
On continue sur la lande.....
.....vers une plantation de résineux qu'on va traverser.
Le maar d'Estivadoux, petite dépression volcanique occupée par une tourbière.
Le balisage jaune nous emmène à travers la forêt.
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De Besse-en-Chandesse au Lac Pavin en longeant la petite rivière
de La Couze......
Juste après avoir traversé La Couze, le sentier en sous-bois passe à côté de la Fontaine Goyon. Elle produit une eau ferragineuse qui jaillit à une température de 8.5°C et laisse un dépôt de rouille caractéristique. Elle a été exploitée durant quelques années à la fin du XIXème siècle.
A la sortie de bois, pause casse-coûte au bord de La Couze. En arrière plan, le puy de Pertuyzat, on passera de l'autre côté après avoir fait le tour du lac.
Mais suivons d'abord ce chemin au milieu des pâtures qui va nous emmener vers........
...... vers le Lac Pavin.
Le lac Pavin, fleuron du patrimoine naturel d’Auvergne, est remarquable par son caractère unique en France et en Europe car ses eaux profondes du lac (de 60 à 92 m) ne se mélangent pas aux eaux de surface. Cette caractéristique est directement liée à ses origines volcaniques.
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De Besse-en-Chandesse au Lac Pavin en longeant la petite rivière
de La Couze.......
Dès la sortie de Besse, dans un cadre bucolique, on découvre la chapelle de La Villetour, petit hameau un peu à l'écart de la cité médiévale. Elle fut construite en 1565 et joliment restaurée en 1991 grâce à la générosité d'une habitante de La Villetour.
Entre haies et clôtures, on continue notre balade....
L'automne avec ses superbes couleurs s'est installé, quelques fleurs de genêts résistent....
Jolie petite vallée à découvrir tout au long de ce sentier......
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Une robe acajou, des cornes en lyre, qui ne reconnaîtrait pas la reine
des volcans d'Auvergne, la vache de Salers?
Cette race de montagne, rustique et <<bonne à tout faire>>, a vu ses effectifs diminuer avec le développement d'une agriculture productiviste privélègiant pour le lait comme la viande, des bovins plus spécialisés: montbéliardes, pies-noires, charolaises.....
Aujourd'hui, on vante à nouveau ses mérites en tant que race allaitante, et ses effectifs sont à la hausse. Son avenir reste cependant lié aux politiques de qualité de la viande, à la mise en place de labels et à l'information des consommateurs sur les produits qu'ils achètent.
Car si le bifteck de salers est bon, très bon, bien meilleur que celui d'une laitière réformée, encor faut-il le savoir et avoir le choix à l'étal du boucher.......
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